Le vocable de la chapelle s’explique vraisemblablement par la dédicace à « Marie enfant », dont le culte est attesté par le choix du jour de la Nativité de la Vierge (8 septembre) comme fête patronale dès le Moyen Age, et par la présence depuis au moins le xvie s. d’une statue de sainte Anne enseignant la Vierge enfant. 

Bienheureuse Sœur Sainte Monique, martyre († 1794) vécut à Arquenay. Sa maison est un lieu de pélerinage.

Entrée chez les Augustines de Château-Gontier, elle fut un modèle de piété et de dévouement. Ayant refusé de prêter serment pendant la Révolution française, elle fut guillotinée. Elle a été béatifiée en 1955.

Près du Buret, une statuette de la Vierge était abritée dans un chêne, une émousse. 

Le lieu était très fréquenté par des pèlerins et des guérisons inexpliquées s’étant produites, il fut décidé d’élever la chapelle de la Ducraie pour abriter la statue. L’édifice est béni le 21 novembre 1874.

La chapelle Notre-Dame de Saubert tient son nom d'une ferme baptisée « Saubert » située à proximité. L'histoire raconte qu'une statuette très ancienne fut placée depuis des temps inconnus dans une des cavités d'un vieux chêne qui aujourd'hui encore existe. Cette statuette, en biscuit peint, représentait une Vierge à l'Enfant. Elle fut l'objet d'un culte important. Sous la Révolution, les fermiers de Saubert la cachèrent dans leur ferme afin de la protéger des iconoclastes. Après la Terreur, elle fut replacée dans le vieux chêne et y fut vénérée jusqu'en 1865, époque à laquelle la famille Launay fit construire la chapelle Notre-Dame de Saubert. Pour abriter cette statuette, un homme a construit un dais rustique avec des morceaux d'écorces du vieux chêne. Ce dais est encore aujourd'hui dans l'enceinte de la chapelle. « La statuette originelle a disparu. Mais le dais est toujours là. Les vitraux sont aussi d'origine. Ils ont été restaurés avec des morceaux de vitraux ramassés au pied de la chapelle », raconte Pierre Maline. D'un côté architectural, l'édifice est sans grand caractère. Cependant, il présente une caractéristique particulière. « Dans la niche centrale, plusieurs vitraux ont été orientés de façon que les rayons solaires teintent de couleurs changeantes la grande statue de la Vierge. Elle passe du rose au bleu. Et quand il y a beaucoup de soleil, elle est dans une véritable boule de feu », poursuit Simone.

Cette chapelle, datant de la fin du XVIIIème siècle, est située sur une ancienne voie gallo-romaine.

Elle est érigée en un lieu où la Vierge est réputée être apparue. Elle est précisément localisée à l'extrémité du chemin venant du lieu-dit "La Petite Pellerie".

Le site est le but de processions effectuées lors de l'Assomption, tous les deux ans en alternance avec "La grotte de lourdes" de Chémeré-le-Roi, les années paires.

Elle est ouverte par une baie cintrée dont l'encadrement est en grès roussard.

A l'intérieur, la statue de la vierge à l'enfant, réalisée en terre cuite, datant du XVIème siècle, et représentant Notre-Dame de la Piquelière, est l'oeuvre d'un artisan local, et est vénérée depuis 1750.